Vous cherchiez une légende de Country ? Reba McEntire était celle que tous attendaient au festival C2C de Dublin.

 

Qui est-elle ?

40 ans de carrière, 29 albums studio, 56 millions d’albums vendus, 35 titres numéros 1… Elle a remporté 7 Country Music Awards, 2 Grammys et elle est membre du Country Music Hall Of Fame ainsi que du Grand Ole Opry depuis plus de 30 ans. Rien que ça !
 

Le concert

Avant le concert, l’attente est à son comble, mes voisins me confient être venus spécialement pour la voir. Dans le public, nombreux ceux qui portent des t-shirts « Reba ».

Soudain, la salle est plongée dans le noir, les écrans diffusent des extraits du clip « Fancy ». Quant elle arrive sur scène – tenue noire scintillante, crinière rousse – là de nombreux spectateurs sortent leurs portables pour filmer la légende.

Reba McEntire entame son show avec une belle énergie sur « Can’t Even Get the Blues ». Sa musique et sa voix bien qu’étant Country, sont parfois teintées de Rock et de Soul. On peut notamment entendre des cuivres.

Elle nous régale de ses plus grands succès : How Blue (voir ci-dessous), Whoever’s in New England, Little Rock… Mais aussi de deux morceaux de son nouvel album gospel, un double disque avec des standards du genre et un deuxième CD avec de nouveaux morceaux.
 

 
Elle n’hésite pas à s’adresser à son public, à lui raconter des anecdotes. Elle le dit-elle-même « Reba est juste Reba. Sur scène ou dans la vie. C’est juste moi ». (« Reba is Reba. Onstage/Offstage, it’s always just me. »). Elle livre des bribes de son enfance, ayant grandi dans un minuscule village de l’ Oklahoma, où la population était de 18 habitants et non 18,000 ! A ses débuts, dit-elle « personne ne faisait de la Country traditionnelle hormis elle, Travis Tritt et Ricky Skaggs ».

Reba McEntire introduit également ses morceaux les plus connus comme « Going Out Like That », fait référence à une rupture amoureuse et passe également un message à la gente féminine « on ne va pas baisser les bras » (Girl Power !).

Et elle nous offre une magnifique ballade « The Greatest Man I Never Knew », en hommage à son père, un compétiteur de rodéo. Un cowboy, un vrai !
 

 
Elle finit le concert par un de ses plus grand hits, un uptempo sur vitaminé : « Fancy » qui lui vaut une standing ovation.

A la boutique de souvenirs, j’ai essayé d’acheter son dernier album, il était épuisé. Comme quoi les légendes sont éternelles !
 
 
Sources : 

http://reba.com/story/ ; about Reba

http://www.opry.com/artist/reba-mcentire ; Reba McEntire – artiste bio